Image Culte<p>« And Then We Saw the Daughter of the Minotaur », huile sur toile, 1953, par <strong>Leonora Carrington</strong> et qui me fait penser à sa citation célèbre : « Je n’avais pas le temps d’être la muse de qui que ce soit... j’étais trop occupée à me rebeller contre ma famille et à apprendre à être une artiste ». Une réponse à une certaine misogynie dans le mouvement surréaliste, où du moins chez André Breton.</p><blockquote><p>« L’attitude du surréalisme à l’égard des femmes était ambivalente. André Breton, le fondateur du mouvement et l’un de ses principaux protagonistes, était fasciné par l’idée freudienne selon laquelle la psyché féminine était débridée, mystique et érotique. Certaines artistes féminines associées au mouvement, comme Carrington, étaient ainsi présentées comme la <em>femme enfant</em> qui avait pour vocation de servir de muse à l’artiste masculin » (MoMa).</p></blockquote><p>Pour mémoire, le même André Breton était par ailleurs aussi horriblement homophobe...</p><p><a class="hashtag" href="https://social.tmprs.net/tag/peinture" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#peinture</a> <a class="hashtag" href="https://social.tmprs.net/tag/surrealisme" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#surrealisme</a> <a class="hashtag" href="https://social.tmprs.net/tag/misogynie" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#misogynie</a> <a class="hashtag" href="https://social.tmprs.net/tag/leonoracarrington" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#LeonoraCarrington</a> <a class="hashtag" href="https://social.tmprs.net/tag/andrebreton" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#AndreBreton</a></p>